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Rassemblement du 9 novembre 2024 :

L' injustice et les crimes génocidaires se poursuivent et se propagent au Moyen-Orient. La plupart des gouvernements et médias occidentaux continuent à se rendre complice. Aucune sanction à l'égard d'Israël pour freiner les massacres des civils n'est appliquée, plus grave encore la livraison d'armes au pays génocidaire ne s'arrête pas .

Voir la vidéo du rassemblement, pour avoir des informations non filtrées par les médias français (assassinat délibérés des journalistes pour empêcher les témoignages, tortures perpétrées par les israéliens, harcèlement sexuel des femmes journalistes en prison, amputations,...)

Mieux que des texte, visualiser la Palestine avec des cartes, des graphiques :

Visualizing Palestine

Guantánamo en Israël (Article du Canard Enchainé)

JUSTE avant la libération de quatre otages israéliens, le 8 juin, obtenue en bombardant un bâtiment dans une zone densément peuplée de Gaza —au prix, une fois encore, d’insupportables pertes civiles (210 morts, selon le Hamas)—, des ONG :israéliennes ont exigé la fermeture de la sinistre base militaire de Sde Teiman. Située dans le désert du Néguev, dans le sud du pays, elle sert de lieu de torture pour les prisonniers capturés à Gaza, façon Guantänamo. « Nous étions parqués dans des cages (..). Nous n’avions pas de noms, seulement des numéros, que les soldats prononçaient en hébreu (...). On nous battait régulièrement, sans raison », témoigne un détenu libéré (« La Croix», 4/6). Les alertes des anciens prisonniers ont mobilisé l'ONG Physicians For Human Rights Israël, qui collecte les preuves de potentiels crimes de guerre commis par le pouvoir de Netanyahou. Preuve amère que le pays est encore une démocratie. Et, selon le Comité public contre la torture en Israël, deux autres bases militaires, en Cisjordanie occupée, sont réservées aux personnes incarcérées sous le statut de « combattant illégal » et pas de prisonnier de guerre. Ils sont 2000 à y croupir. «La Croix» a recueilli la confession d’une source médicale israélienne, qui raconte des amputations sans anesthésie : « Ce n’est pas en Afghanistan mais dans notre propre pays. » Tsahal, interrogé par le journal, dit agir « conformément à la loi ». Celle du talion ?

J.-L. LT

Guantanamo en Israel (article du Canard Enchaine du 12 juin 2024)
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